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Baguettes Magiques

Baguettes Magiques

Pain au Chocolat ou Chocolatine


Il existe plusieurs dénominations pour cette viennoiserie suivant les régions francophones :

pain au chocolat, petit pain ou petit pain au chocolat, dans la majeure partie de la France, en Suisse et dans une partie de la Belgique ;

Chocolatine, dans le Sud-Ouest de la France, exceptée la région de Perpignan selon les résultats d'un sondage et la cartographie issue des données recueillies, diffusés et analysés sur nombre de sites web et de manière plus prégnante à Bordeaux qu'à Toulouse plus influencée par le languedocien ; terme utilisé également au Nouveau-Brunswick et au Québec ;

couque au chocolat, dans la partie nord de la Belgique francophone (dont Bruxelles) ;

croissant au chocolat, parfois en Bourgogne8, sporadiquement dans d'autres régions de l'Est de la France et en Suisse romande, dans certains provinces du Canada telles que l'Ontario et le Manitoba  et au Liban.

En espagnol, cette viennoiserie se nomme Napolitana de chocolate.

Croissants


L'existence du kipferl, ancêtre du croissant, serait attestée dans les pays de l'Europe de l'Est depuis le XIIIe siècle, mais sans que l'on n’en connaisse la recette

(salée ou sucrée) ni la pâte (feuilletée ou pas).

On daterait son origine à 1683 où, pendant que les turcs assiègent Vienne, un boulanger prénommé Adam Spiel donne l'alerte au moment d'une attaque ottomane à l'aube qui permet de repousser l'envahisseur. Pour commémorer cette victoire, de petits croissants appelés Hörnchen furent confectionnés par les boulangers de la ville, rappelant ainsi la forme du symbole ottoman.

À Paris, les premiers croissants sont vendus au no 92, rue de Richelieu, entre 1837 et 18393, quand les Autrichiens August Zang et Ernest Schwarzer y ouvrent la Boulangerie viennoise. Leurs versions des kipferl (en forme de croissant) et des kaisersemmel (pain kaiser ou petit pain de l'empereur) ont vite inspiré une foule d'imitateurs, et le croissant est déjà cité en 1850 comme un pain habituel

la pâte à croissant est une pâte levée feuilletée : on utilise la même pâte pour faire les pains au chocolats. La pâte levée feuilletée utilise les mêmes principes que la pâte feuilletée normale, à la différence que le pâton dans lequel on plie le beurre contient de la levure de boulanger qui fera gonfler la pâte avant et pendant la cuisson. La pâte levée feuilletée nécessite en général moins de beurre que la pâte feuilletée classique.

Le croissant était fabriqué à l'origine avec une pâte voisine de celle de la brioche, mais vers 1900 on constate l'utilisation d'une pâte plus proche de la pâte feuilletée. Le terme de cette tendance est le croissant au beurre, dont la forme droite fait qu'il n'a plus la forme d'un « croissant ».

Escargot aux raisins


Le pain aux raisins, également appelé brioche aux raisins dans le sud de la France, couque aux raisins ou couque escargot en Belgique, pain russe à Lyon, escargot aux raisins dans le sud-ouest et l'est de la France, Schnecke dans les pays germanophones ainsi qu'au Maroc, en Tunisie et en République tchèque, et pain suisse en Algérie, est une viennoiserie en forme de spirale. Constituée d'une pâte feuilletée levée, mélangée avec des raisins secs, et fourrée de crème pâtissière, elle est traditionnellement consommée le matin au petit déjeuner.

En Amérique du Nord et en Europe du Nord, on appelle pain aux raisins un pain sucré qui contient des raisins secs, plus proche du pain traditionnel, qui n'est donc pas une viennoiserie.

Beignets Natures



La coutume des beignets remonte aux fêtes romaines des calendes de mars[réf. nécessaire]. Celles-ci célébraient le réveil de la nature par des rites agraires. À cette occasion, les interdits étaient transgressés et les déguisements autorisés.

La première recette d'une pâte à beignet, l’aliter dulcia, est donnée par Apicius, dans son ouvrage De re coquinaria.

Dans les pays de religion chrétienne, avant la période de privation du carême, dite période de jeûne et qui dure quarante jours, il est de coutume de faire la fête et de manger « gras ».

D'où « Mardi gras », qui est le jour précédant le carême.

Comme la fête rassemblait un grand nombre de personnes, il fallait confectionner des pâtisseries vite préparées et bon marché. Il s'agissait aussi d'utiliser les réserves de beurre, huile, œufs, avant les quarante jours de jeûne qui allaient suivre.

D'où la tradition des beignets et également des gaufres et des crêpes.

Chausson aux pommes


Le chausson aux pommes est une pâtisserie à base de pâte feuilletée de forme semi-circulaire ou triangulaire contenant le même type de garniture que la tarte aux pommes,

et il se mange de préférence chaud.

À St-Calais (Sarthe), où il aurait été créé en 1630 à la suite d'une épidémie,

a lieu tous les ans en septembre la fête du chausson1.

En Belgique le chausson est fait non pas avec de la pâte feuilletée

mais avec de la pâte à tarte et est appelé « gosette aux pommes ».

En France, en 1873 à Lemud (Moselle), les chaussons étaient de la taille

d'une demi-tarte (pâte à tarte repliée en deux)

et s'appelaient « Conn-ché »

Patte d'Ours


Viennoiserie formée d’un rectangle de pâte briochée garnie d’une crème pâtissière à la vanille et de pépites de chocolat, également désignée sous le nom de pain suisse et sous de nombreux autres noms

Madeleines


La madeleine de Commercy porterait le prénom d'une jeune cuisinière de Commercy, Madeleine Paulmier.

Servante de la marquise Perrotin de Baumont, en 1755, elle aurait fabriqué ces gâteaux pour le duc viager Stanislas Leszczyński.

Ce dernier donnait une réception dans son château mais, confronté à un esclandre entre son intendant et son cuisinier, le souverain ne pouvait conclure les agapes faute de dessert, le cuisinier l'ayant emporté dans sa colère en quittant le château.

C'est alors qu'une jeune servante de la marquise Perrotin de Beaumont, Madeleine Paulmier, se permit de proposer la recette d'un gâteau qu'elle tenait de sa grand-mère. Faute de mieux, l'ex-roi de Pologne fut bien obligé de condescendre à accepter.

La noble assemblée se délecta de ce dessert impromptu et providentiel. Soulagé, le duc Stanislas voulut se faire présenter celle qui avait accompli cette "merveille" et, en homme galant, donna au petit gâteau moulé dans une coquille Saint-Jacques le prénom de la jeune héroïne, Madeleine.

Cette tradition Lorraine s'est prolongée jusqu'à nos jours.


Selon d'autres sources incertaines, la madeleine remonterait à l'origine du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, où une jeune fille nommée « Madeleine », aurait offert aux pèlerins un gâteau aux œufs, moulé dans une coquille Saint-Jacques (qui est l'emblème du pèlerinage)

Cookies Chocolat blanc


Un jeune couple d'aubergistes, Kenneth et Ruth Graves Wakefield, achetèrent une auberge dans la région de Boston, en 1930, la Toll House Inn. Dans le but de séduire sa clientèle,

Ruth expérimenta une nouvelle recette de gâteau en mélangeant des morceaux de chocolat Nestlé à sa pâte. Les morceaux de chocolat n'ayant pas fondu, à la surprise de Ruth, sont en réalité à l'origine du succès de cette nouvelle recette.

Nestlé, qui songeait à arrêter la fabrication de ce chocolat, envoya un représentant sur place afin de découvrir la raison du succès local de leur chocolat. Puis André Nestlé et Ruth Wakefield convinrent d'un accord : la firme Nestlé pourrait utiliser la recette de Ruth et le nom de son Auberge du Péage ( Toll House Inn) , à condition que la recette des cookies soit imprimée sur l'emballage et que Ruth soit approvisionnée en chocolat Nestlé variété.


La Seconde Guerre mondiale, et le brassage de tous les GI venant de différents États des États-Unis, assurèrent la diffusion de cette recette de Nouvelle Angleterre : les cookies, délicieux, hautement énergétiques sous un faible volume, et supportant bien le transport vers les théatres d'opérations extérieures eurent un énorme succès, et Nestlé en bénéficia.

Muffin

Les muffins sont nés aux États-Unis au milieu du XIXe siècle. L'utilisation du terme pour décrire ce qui est essentiellement des gâteaux ou des petits pains n'est pas devenue un usage courant en Grande-Bretagne avant les dernières décennies du 20ème siècle, à cause de la propagation des cafés comme Starbucks.

Ils sont similaires aux cupcakes en termes de taille et de méthodes de cuisson, la principale différence étant que les cupcakes ont tendance à être des desserts sucrés utilisant de la pâte à gâteau et qui sont souvent garnis de sucre. glaçage (glaçage américain). Muffins sont disponibles dans les deux variétés savoureuses, comme les muffins au maïs et au fromage, ou des variétés sucrées comme les saveurs de myrtille, de chocolat, de citron ou de banane. Ils sont souvent consommés comme aliments de petit-déjeuner, souvent accompagnés de café ou de thé.


Les recettes de muffins au pain sont courantes dans les livres de cuisine américains du XIXe siècle. Les recettes pour les muffins à base de levure, qui ont parfois été appelés «muffins communs» ou «muffins de blé» dans les livres de cuisine américains du 19ème siècle, peuvent être trouvées dans des livres de cuisine beaucoup plus anciens. Dans son livre , Fannie Farmer donnait des recettes pour les deux types de muffins, ceux qui utilisaient la levure pour élever la pâte et ceux qui utilisaient une méthode de pain rapide, en utilisant des muffins pour façonner les muffins anglais. L'agriculteur a indiqué que la «cuisson» de la cuisinière, comme c'est le cas avec la pâte à levure, était une méthode utile lorsque la cuisson dans un four n'était pas pratique.

Jésuites

Il s’agit d’un petit triangle de pâte feuilletée fourré à la frangipane et recouvert de glaçage. Le nom vient de ce que, à l’origine, ces pâtisseries étaient recouvertes de praline ou de glaçage au chocolat en forme de chapeau à bords relevés comme ceux des Jésuites.




Tresses

il s'agit une pâte feuilletée en forme de tresse fourée à la crème patissière et aux petites de chocolat




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